 
			
			Big Shots, développé par le studio belge AlterEyes et publié par MyDearest, est un jeu de tir en réalité virtuelle qui place le joueur aux commandes d’un mécha dans un monde envahi par des hordes extraterrestres. Ce titre se veut être un roguelite coopératif où l’action frénétique et la personnalisation du mécha sont les maîtres mots. Sur le papier, Big Shots semble avoir tout pour plaire aux amateurs de VR, mais en pratique, le jeu laisse un sentiment mitigé.
 Big Shots propose une immersion totale en plaçant toutes les commandes et interfaces à l’intérieur du cockpit du mécha. Que ce soit pour naviguer dans les menus, effectuer des mouvements ou améliorer ses armes, tout se fait en restant dans l’univers du jeu. Cette approche immersive est l’un des points forts de Big Shots, car elle renforce l’immersion du joueur et le sentiment d’être vraiment aux commandes d’une machine de guerre géante.
Big Shots propose une immersion totale en plaçant toutes les commandes et interfaces à l’intérieur du cockpit du mécha. Que ce soit pour naviguer dans les menus, effectuer des mouvements ou améliorer ses armes, tout se fait en restant dans l’univers du jeu. Cette approche immersive est l’un des points forts de Big Shots, car elle renforce l’immersion du joueur et le sentiment d’être vraiment aux commandes d’une machine de guerre géante.
Sur le plan du gameplay, Big Shots se veut accessible tout en proposant un défi constant. Vous êtes plongés dans des combats intenses où vous devez gérer simultanément les mouvements de votre mécha, le tir sur les ennemis et l’utilisation d’améliorations récupérées en cours de route. Chaque partie commence avec un mécha basique, mais à mesure que vous progressez, vous pouvez collecter des améliorations temporaires pour augmenter la puissance de feu ou la vitesse d’attaque, ce qui ajoute une couche stratégique aux combats.
 Cependant, malgré cette intensité, le jeu souffre de plusieurs limitations. La conception roguelite implique que les améliorations acquises en cours de route ne sont pas permanentes, ce qui devient rapidement frustrant et casse le sentiment de progression continue. De plus, bien que les contrôles du mécha soient fluides et bien conçus pour la VR, le jeu peine à offrir une diversité suffisante dans les ennemis et les environnements, ce qui rend l’expérience répétitive après plusieurs heures de jeu.
Cependant, malgré cette intensité, le jeu souffre de plusieurs limitations. La conception roguelite implique que les améliorations acquises en cours de route ne sont pas permanentes, ce qui devient rapidement frustrant et casse le sentiment de progression continue. De plus, bien que les contrôles du mécha soient fluides et bien conçus pour la VR, le jeu peine à offrir une diversité suffisante dans les ennemis et les environnements, ce qui rend l’expérience répétitive après plusieurs heures de jeu.
 Là où Big Shots se distingue vraiment, c’est dans son mode coopératif. Le jeu permet une expérience de jeu croisée, où les joueurs peuvent faire équipe, qu’ils soient sur Meta Quest, PSVR 2 ou SteamVR. Cette fonctionnalité est bien implémentée et offre une dynamique de jeu nettement plus plaisante que le mode solo. Le travail d’équipe devient essentiel pour surmonter les vagues d’ennemis, et c’est dans ces moments de coopération que Big Shots brille véritablement.
Là où Big Shots se distingue vraiment, c’est dans son mode coopératif. Le jeu permet une expérience de jeu croisée, où les joueurs peuvent faire équipe, qu’ils soient sur Meta Quest, PSVR 2 ou SteamVR. Cette fonctionnalité est bien implémentée et offre une dynamique de jeu nettement plus plaisante que le mode solo. Le travail d’équipe devient essentiel pour surmonter les vagues d’ennemis, et c’est dans ces moments de coopération que Big Shots brille véritablement.
Cependant, il est regrettable que le jeu n’exploite pas pleinement son potentiel en solo. L’IA partenaire dans ce mode est souvent peu réactive, ce qui peut rendre certaines missions fastidieuses à accomplir seul. Le mode coopératif devient alors presque une nécessité pour tirer pleinement parti de l’expérience offerte par le jeu.
 Visuellement, Big Shots n’innove pas mais reste efficace. Les environnements sont détaillés, bien que répétitifs, et l’esthétique générale du jeu, avec ses méchas imposants et ses effets de lumière, parvient à capter l’attention. La direction artistique, sans être révolutionnaire, apporte une certaine fraîcheur à un genre déjà bien exploré dans la réalité virtuelle. Les effets sonores, quant à eux, sont percutants et ajoutent à l’immersion, bien qu’ils puissent devenir monotones au fil du temps
Visuellement, Big Shots n’innove pas mais reste efficace. Les environnements sont détaillés, bien que répétitifs, et l’esthétique générale du jeu, avec ses méchas imposants et ses effets de lumière, parvient à capter l’attention. La direction artistique, sans être révolutionnaire, apporte une certaine fraîcheur à un genre déjà bien exploré dans la réalité virtuelle. Les effets sonores, quant à eux, sont percutants et ajoutent à l’immersion, bien qu’ils puissent devenir monotones au fil du temps
 
						 
								 
			 
			 
			