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Sorti initialement sur les consoles de salon en 2020, ce jeu a été adapté pour la Nintendo Switch ce 24 Septembre 2021, permettant aux joueurs de revivre les aventures de Goku et de ses amis en mode portable. Mais ce portage parvient-il à rendre justice à l’ampleur de l’histoire de Dragon Ball Z tout en s’adaptant aux spécificités de la console hybride de Nintendo ?
 Dragon Ball Z: Kakarot propose aux joueurs de revivre les arcs majeurs de Dragon Ball Z dans un format RPG en monde ouvert. Du combat contre Raditz jusqu’à l’affrontement final avec Buu, chaque saga est fidèlement recréée, avec des cinématiques qui capturent parfaitement l’intensité et l’émotion des moments clés de l’anime. Les fans de la série seront ravis de retrouver les moments emblématiques qui ont marqué leur enfance, avec des dialogues et des scènes qui restent fidèles à l’œuvre originale.
Dragon Ball Z: Kakarot propose aux joueurs de revivre les arcs majeurs de Dragon Ball Z dans un format RPG en monde ouvert. Du combat contre Raditz jusqu’à l’affrontement final avec Buu, chaque saga est fidèlement recréée, avec des cinématiques qui capturent parfaitement l’intensité et l’émotion des moments clés de l’anime. Les fans de la série seront ravis de retrouver les moments emblématiques qui ont marqué leur enfance, avec des dialogues et des scènes qui restent fidèles à l’œuvre originale.
 Le jeu permet également de découvrir des aspects inédits de l’univers Dragon Ball, avec des quêtes secondaires qui explorent des histoires parallèles ou approfondissent certains personnages. Ces quêtes, bien qu’elles n’apportent pas toutes une grande profondeur à l’histoire principale, ajoutent une couche de contenu supplémentaire qui enrichit l’expérience globale.
Le jeu permet également de découvrir des aspects inédits de l’univers Dragon Ball, avec des quêtes secondaires qui explorent des histoires parallèles ou approfondissent certains personnages. Ces quêtes, bien qu’elles n’apportent pas toutes une grande profondeur à l’histoire principale, ajoutent une couche de contenu supplémentaire qui enrichit l’expérience globale.
De plus, de nombreux ajouts permettent également de découvrir des éléments directement inspirés de la mythologie Dragon Ball d’une manière plus générale, avec des épisodes issus de la première série, ou des quêtes mettant directement en scène des personnages oubliés comme ceux de l’armée du Ruban Rouge.
 L’ajout du DLC « A New Power Awakens », inclus dans cette version Switch, permet aux joueurs d’affronter Beerus et Whis, les dieux de la destruction, et d’accéder à la transformation en Super Saiyan God, ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux combats. Ce contenu additionnel s’intègre parfaitement à l’histoire principale, prolongeant l’aventure au-delà des arcs traditionnels de Dragon Ball Z.
L’ajout du DLC « A New Power Awakens », inclus dans cette version Switch, permet aux joueurs d’affronter Beerus et Whis, les dieux de la destruction, et d’accéder à la transformation en Super Saiyan God, ajoutant ainsi une nouvelle dimension aux combats. Ce contenu additionnel s’intègre parfaitement à l’histoire principale, prolongeant l’aventure au-delà des arcs traditionnels de Dragon Ball Z.
 Dragon Ball Z: Kakarot mélange les éléments d’un RPG traditionnel avec des affrontements en temps réel inspirés des jeux de combat. Les joueurs explorent des zones ouvertes, accomplissent des quêtes, et participent à des combats dynamiques contre des ennemis iconiques. Le système de combat, bien que simple d’accès, offre suffisamment de profondeur pour garder l’intérêt des joueurs, avec des combos, des techniques spéciales et des transformations qui peuvent être déclenchées en fonction de la situation.
Dragon Ball Z: Kakarot mélange les éléments d’un RPG traditionnel avec des affrontements en temps réel inspirés des jeux de combat. Les joueurs explorent des zones ouvertes, accomplissent des quêtes, et participent à des combats dynamiques contre des ennemis iconiques. Le système de combat, bien que simple d’accès, offre suffisamment de profondeur pour garder l’intérêt des joueurs, avec des combos, des techniques spéciales et des transformations qui peuvent être déclenchées en fonction de la situation.
 Cependant, malgré cette richesse apparente, le gameplay montre ses limites à mesure que l’on progresse dans le jeu. Les combats, bien qu’impressionnants visuellement, deviennent répétitifs sur le long terme, avec des ennemis qui se comportent souvent de manière similaire, et des missions qui manquent de variété. De plus, l’exploration des zones ouvertes, bien que plaisante au début, souffre d’un manque de contenu réellement captivant, avec des environnements qui, bien que vastes, sont souvent peu interactifs et manquent de détails ; sinon pour ramasser des « Z Coins », pièces nécessaires à l’achat de compétences.
Cependant, malgré cette richesse apparente, le gameplay montre ses limites à mesure que l’on progresse dans le jeu. Les combats, bien qu’impressionnants visuellement, deviennent répétitifs sur le long terme, avec des ennemis qui se comportent souvent de manière similaire, et des missions qui manquent de variété. De plus, l’exploration des zones ouvertes, bien que plaisante au début, souffre d’un manque de contenu réellement captivant, avec des environnements qui, bien que vastes, sont souvent peu interactifs et manquent de détails ; sinon pour ramasser des « Z Coins », pièces nécessaires à l’achat de compétences.
 L’aspect RPG du jeu, avec la gestion des compétences, des équipements, et la montée en niveau des personnages, ajoute une dimension stratégique intéressante, mais cette gestion devient fastidieuse à mesure que les heures passent. En effet, l’achat de nouvelles compétences demandent toujours plus de pièces, qui doivent être ramasser unitairement sur le terrain ou lors d’affrontements répétitifs. Les phases de grinds se cumulent jusqu’à parfois l’écœurement, puisque nécessaire afin de vaincre certains ennemis particulièrement puissants.
L’aspect RPG du jeu, avec la gestion des compétences, des équipements, et la montée en niveau des personnages, ajoute une dimension stratégique intéressante, mais cette gestion devient fastidieuse à mesure que les heures passent. En effet, l’achat de nouvelles compétences demandent toujours plus de pièces, qui doivent être ramasser unitairement sur le terrain ou lors d’affrontements répétitifs. Les phases de grinds se cumulent jusqu’à parfois l’écœurement, puisque nécessaire afin de vaincre certains ennemis particulièrement puissants.
 Le portage de Dragon Ball Z: Kakarot sur Nintendo Switch est globalement réussi, mais il montre aussi les limites techniques de la console. En mode docké, le jeu tourne en 900p avec un framerate qui oscille entre 30 et 60 images par seconde. En mode portable, la résolution chute à 720p, avec des textures qui perdent en netteté et des environnements qui paraissent parfois un peu vides. Malgré ces concessions, le jeu reste fluide, avec des temps de chargement relativement courts.
Le portage de Dragon Ball Z: Kakarot sur Nintendo Switch est globalement réussi, mais il montre aussi les limites techniques de la console. En mode docké, le jeu tourne en 900p avec un framerate qui oscille entre 30 et 60 images par seconde. En mode portable, la résolution chute à 720p, avec des textures qui perdent en netteté et des environnements qui paraissent parfois un peu vides. Malgré ces concessions, le jeu reste fluide, avec des temps de chargement relativement courts.
 Les graphismes, bien que moins détaillés que sur les autres consoles, restent fidèles au style de l’anime, avec des personnages bien modélisés et des effets visuels convaincants lors des combats. Cependant, certaines cinématiques souffrent de compressions visibles, surtout en mode portable, ce qui nuit clairement à l’immersion.
Les graphismes, bien que moins détaillés que sur les autres consoles, restent fidèles au style de l’anime, avec des personnages bien modélisés et des effets visuels convaincants lors des combats. Cependant, certaines cinématiques souffrent de compressions visibles, surtout en mode portable, ce qui nuit clairement à l’immersion.
Sur le plan sonore, Dragon Ball Z: Kakarot fait un excellent travail en intégrant les musiques emblématiques de la série, avec une bande-son qui accompagne parfaitement les différentes phases de jeu. Les doublages en anglais et en japonais sont également de bonne qualité, bien que certains dialogues puissent paraître un peu répétitifs à la longue.
 
						 
								 
			 
			 
			