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Mais sous la brume de cette intrigue, Vaudeville parvient-il à tenir son propre spectacle, ou sombre-t-il dans l’ombre d’une idée brillante mais inachevée ?
 Le principe de Vaudeville est simple mais ambitieux : vous incarnez Martini, un détective privé, qui, dans une ville pleine de personnages intrigants et énigmatiques, doit résoudre une série de meurtres. Le gameplay repose sur des dialogues dynamiques et interactifs, où vos choix influencent le déroulement des échanges. Ce qui distingue Vaudeville, c’est l’utilisation de l’intelligence artificielle pour générer des conversations en temps réel. À chaque rencontre, les dialogues ne sont pas pré-écrits de manière rigide, mais générés en fonction de vos actions, de vos questions et de l’état d’esprit des personnages.
Le principe de Vaudeville est simple mais ambitieux : vous incarnez Martini, un détective privé, qui, dans une ville pleine de personnages intrigants et énigmatiques, doit résoudre une série de meurtres. Le gameplay repose sur des dialogues dynamiques et interactifs, où vos choix influencent le déroulement des échanges. Ce qui distingue Vaudeville, c’est l’utilisation de l’intelligence artificielle pour générer des conversations en temps réel. À chaque rencontre, les dialogues ne sont pas pré-écrits de manière rigide, mais générés en fonction de vos actions, de vos questions et de l’état d’esprit des personnages.
 Le concept est captivant, et l’idée d’une interaction fluide, générée en temps réel, est sans doute l’une des plus grandes forces de Vaudeville. Mais si la promesse est grande, l’exécution n’est pas toujours à la hauteur. Les dialogues, bien que souvent intéressants et remplis de mystère, manquent parfois de cohérence et de profondeur. Parfois, l’IA peut produire des répliques un peu déconnectées ou incohérentes, perturbant le rythme du jeu. C’est là où l’innovation rencontre ses limites : l’IA, bien qu’un outil puissant, n’est pas encore complètement affutée, et l’expérience de jeu peut souffrir de quelques maladresses dans la gestion des interactions.
Le concept est captivant, et l’idée d’une interaction fluide, générée en temps réel, est sans doute l’une des plus grandes forces de Vaudeville. Mais si la promesse est grande, l’exécution n’est pas toujours à la hauteur. Les dialogues, bien que souvent intéressants et remplis de mystère, manquent parfois de cohérence et de profondeur. Parfois, l’IA peut produire des répliques un peu déconnectées ou incohérentes, perturbant le rythme du jeu. C’est là où l’innovation rencontre ses limites : l’IA, bien qu’un outil puissant, n’est pas encore complètement affutée, et l’expérience de jeu peut souffrir de quelques maladresses dans la gestion des interactions.
 En ce qui concerne les personnages, Vaudeville met en scène une série d’individus hauts en couleur, chacun avec son propre mystère à dévoiler. Le dompteur de lions Monsieur Saxabar, la danseuse de burlesque Marina H, la veuve Mrs. Potter et le noble prétentieux Count Gravesen sont les figures principales autour desquelles l’intrigue se tisse. Les personnages sont fascinants en théorie, et leur design visuel accentue cette impression de mystère. Mais dans la pratique, la profondeur psychologique de ces figures ne va pas toujours au-delà des archétypes. Les interactions, bien que variées, peuvent rapidement se sentir répétitives, et les personnages, malgré leurs secrets, peinent parfois à se détacher de leurs rôles initiaux. Vaudeville manque de moments où les personnages se révèlent vraiment au joueur, où l’on ressent un véritable changement ou évolution au gré des dialogues.
En ce qui concerne les personnages, Vaudeville met en scène une série d’individus hauts en couleur, chacun avec son propre mystère à dévoiler. Le dompteur de lions Monsieur Saxabar, la danseuse de burlesque Marina H, la veuve Mrs. Potter et le noble prétentieux Count Gravesen sont les figures principales autour desquelles l’intrigue se tisse. Les personnages sont fascinants en théorie, et leur design visuel accentue cette impression de mystère. Mais dans la pratique, la profondeur psychologique de ces figures ne va pas toujours au-delà des archétypes. Les interactions, bien que variées, peuvent rapidement se sentir répétitives, et les personnages, malgré leurs secrets, peinent parfois à se détacher de leurs rôles initiaux. Vaudeville manque de moments où les personnages se révèlent vraiment au joueur, où l’on ressent un véritable changement ou évolution au gré des dialogues.
 La progression de l’enquête dans Vaudeville repose sur les indices collectés et les témoignages obtenus au fur et à mesure des interactions. L’idée d’un jeu d’enquête où chaque décision et chaque conversation peut faire avancer l’intrigue est louable, mais les énigmes, bien qu’intéressantes, souffrent parfois d’un manque de complexité. Si les bases du jeu sont solides, la véritable question est de savoir si l’enquête parvient à surprendre le joueur. Les mystères à résoudre se déroulent à un rythme assez linéaire, et l’IA n’arrive pas toujours à injecter l’imprévisibilité nécessaire à un thriller captivant.
La progression de l’enquête dans Vaudeville repose sur les indices collectés et les témoignages obtenus au fur et à mesure des interactions. L’idée d’un jeu d’enquête où chaque décision et chaque conversation peut faire avancer l’intrigue est louable, mais les énigmes, bien qu’intéressantes, souffrent parfois d’un manque de complexité. Si les bases du jeu sont solides, la véritable question est de savoir si l’enquête parvient à surprendre le joueur. Les mystères à résoudre se déroulent à un rythme assez linéaire, et l’IA n’arrive pas toujours à injecter l’imprévisibilité nécessaire à un thriller captivant.
Cela dit, l’ambiance générale du jeu, renforcée par une bande-son qui s’accorde parfaitement avec les thèmes du mystère et de l’investigation, parvient à maintenir une tension subtile. Mais même si les mystères sont plaisants à résoudre, l’expérience aurait pu bénéficier de plus de diversité dans les types d’énigmes et les rebondissements narratifs.
 Visuellement, Vaudeville propose un cadre élégant, inspiré des films noirs et des thrillers des années 30. L’ambiance est magnifiquement rendue, avec des décors détaillés, des éclairages dramatiques et des personnages dessinés avec soin. Les scènes d’interaction sont bien animées, et l’atmosphère du jeu, à la fois intrigante et dense, est un véritable point fort. Mais techniquement, il reste encore du chemin à parcourir. Parfois, les animations manquent de fluidité et les transitions entre les scènes peuvent sembler abruptes. Ces petites imperfections techniques n’empêchent pas d’apprécier le jeu, mais elles réduisent l’impact immersif de l’expérience.
Visuellement, Vaudeville propose un cadre élégant, inspiré des films noirs et des thrillers des années 30. L’ambiance est magnifiquement rendue, avec des décors détaillés, des éclairages dramatiques et des personnages dessinés avec soin. Les scènes d’interaction sont bien animées, et l’atmosphère du jeu, à la fois intrigante et dense, est un véritable point fort. Mais techniquement, il reste encore du chemin à parcourir. Parfois, les animations manquent de fluidité et les transitions entre les scènes peuvent sembler abruptes. Ces petites imperfections techniques n’empêchent pas d’apprécier le jeu, mais elles réduisent l’impact immersif de l’expérience.
 
						 
								 
			 
			 
			